Empêcher une personne de naître avec un handicap c'est louable et la
recherche que l'on appelle fondamentale s'y emploie. Mais une fois née
ou lorsque le handicap survient plus tard, comment faire pour
améliorer
la qualité de vie de ceux qui s'en trouvent, inéluctablement, affectés ?
C'est là le challenge de la recherche appliquée. Une approche du
handicap non pas dans sa dimension médicale mais sociale et humaine qui
offre des réponses concrètes aux personnes handicapées, à leurs proches
et, pourquoi pas, aux décideurs. Mais il s'avère que ce volet, pourtant
essentiel, est trop souvent négligé. La Firah (Fondation internationale
pour la recherche appliquée sur le handicap) a donc vu le jour en 2009
avec l'objectif de soutenir des projets en ce sens et de « débloquer des situations qui n'ont pas encore de solutions, explique son président, le généticien Axel Kahn. »...
La suite et la fin de cet article sur handicap.fr